Suzume
Messages : 5 Date d'inscription : 25/07/2014 Age : 28
| Sujet: Je suis en viiiiiiiiiie ! Ven 25 Juil - 17:25 | |
| ▬ MA PRESENTATION | Bonjour bonjour ! Je me nomme Suzume, mais on me surnomme Moineau. J'ai 29 ans ,je suis de sexe masculin, et je ne suis attiré que par mes sentiments. Je suis un hybride de type mésange charbonnière et caméléon et je suis libre et sans frontière. Oui Monsieur ! Pour moi les humains sont des déchets que je me refuse de servir. | DESCRIPTION PHYSIQUE ET PSYCHOLOGIQUE Le héros de notre histoire n'est pas un prince mais il n'est pas non plus un monstre. Il n'est pas spécialement beau tout comme il n'est pas spécialement laid. Mesurant près de 1m81, il passe partout. Personne ne le remarque mais il est là. Notre héros se cache parmi les humains, nul ne le découvre, tous le pense humain, comme eux. Il n'a rien d'un animal. Sa peau possède un teint clair, se recouvrant de quelques rougeurs s'il s'expose au soleil. D'une peau naturellement fragile, cet homme préfère rester chez lui, à l'abri d'une vive luminosité, contemplant le ciel nuageux à sa fenêtre. Sa peau n'a aucune imperfection, lui donnant cette pureté délicate que toutes les jeunes adolescentes rêvent un jour d'avoir. Ses cheveux sont brun, parcourut de quelques ondulations. Ses yeux pour leur part possède un jolie brun noisette. Musclé sans trop l'être, il entretient son corps mais se refuse de ressembler à n'importe quel gorille bourré de muscles. Il reste donc avec cette délicatesse qu'il connait tant, gardant cette discrétion et cette beauté qu'il aime préserver. Si l'on se concentre sur son visage, on peut percevoir un léger sourire aimable, doux, donnant envie à n'importe qui de s'adresser à lui pour découvrir l'identité de ce bel inconnu. Ses yeux pétillent de malice, le rajeunissant aux yeux de bien des gens.
Voici notre héros tel que nous le connaissons sous sa forme humaine. Hélas, à chaque miroir, un reflet s'écrit et s'assombrit. Notre héros n'est pas humain, il ne l'a jamais été. Lorsque ses yeux ses yeux se sont ouvert pour la première fois, posant sur le monde un regard changeant, son avenir fut tout tracé. Parce qu'il n'est pas humain, il passerait par de rudes épreuves. Lorsque notre héros mesurait 1m20, de jolies ailes brunes se déployaient agilement dans son dos. Ses yeux de caméléons changeaient de couleur au gré de ses émotions. Lorsque la joie le submergeait, ils devenaient vert, lorsqu'une pointe de peine lui transperçait le cœur, ils se métamorphosés de bleu, lorsque la colère brulait ses prunelles, l'or liquide recouvrait ses yeux... La plus belle des couleurs qu'il eu un jour montré fut... L'amour, cette couleur proche à celle de l'excitation. Un améthyste époustouflant, dévorant celui envers qui son cœur bat d'un regard unique.
Notre héros avait tout pour plaire, ce visage d'ange, cette apparence exceptionnel. Puis vint le jour de la déchéance. Peu à peu, la paix de ses traits se forgea dans une grimace de désespoir, suivit par la haine. Le héros que nous connaissons sous sa forme hybride, ne cache pas ses yeux par ses lentilles noisette. Le visage qu'il arbore n'a rien de sympathique, il n'est que colère et haine. Vengeance et trahison. Les ailes de la mésange furent souillés, arraché à son dos. Ses cris transformèrent son chant en une plainte douloureuse annonciateur de mauvais présage. Depuis ce jour, son dos est parcourut de deux large cicatrices. Il ne peut plus voler, il ne peut plus fuir. Mais nul ne peut abattre la foi de notre héros. Les larmes de notre héros se sont asséchées, sont devenu sillon invisible. Ses yeux semblent piétiner les lois et sa rancœur le pousse à la folie. Voici notre véritable héros.
L'oiseau n'est pas un prince, ni physiquement, ni psychologiquement. Jouant double jeu, l'humain est lui, mais il n'est pas l'humain. Cette insouciance typiquement humaine, cette assurance dominante, cette force que les tyrans possèdent... Tout fait partie du côté humain de notre héros. Pourtant, quelque chose me dis que ce qui nous intéresse dans cette histoire, ce n'est pas celui qu'il feint être. Nous ne nous intéressons pas à l'homme amusant et sociable, mais bien à l'exilé, celui qui jure vengeance, celui qui ne cesse de rêver à la libération hybride. Il toise d'un regard sévère ceux qui l'entoure, méprise ses semblable docile, haït l'humanité. Notre héros fuit l'esclavagisme, se cache parmi ses ennemis durant ses fuites. Malgré tout, c'est un compagnon comme l'on en trouve peu. La résistance ne peut se faire seul et le banni en a conscience. L'abandon n'est pas une option à ses yeux, tout comme la traitrise. Ces mots n'existent pas, seul le courage et sa volonté continue de le faire avancer et résister. Qu'importe les coups, c'est avec sa tête que pense le révolutionnaire. Nul ne peut le soumettre, nul ne peut l'abattre. Il était une fois... Un riche et vieil homme. Ce dernier n'avait ni enfants, ni compagne et chaque jour la solitude devenait de plus en plus présente. Il ne voulait pas se lier à une femme, de crainte que son cœur ne s'enlise au sien que pour sa bonne fortune. Autour de lui, la haute société lui adressait de nombreux sourires, mais tous lui semblaient faux, dépourvu d'intérêt. Il regardait le monde avec un regard impartial. Il n'était pas assez naïf pour tomber dans la gueule du loup. Il ignorait les compliments de ses convives, régnant sur son argent d'une main de fer, avare de posséder toujours plus de bien. Un jour, alors que le vieil homme regardait par la fenêtre, il vit quelques oiseaux dans le ciel. L'homme ferma les yeux, écoutant le chant mélodieux des petites bêtes. Peu après, une averse s'abattit sur la ville et rêveur, l'homme songea à s'adonner à l'esclavagisme qu'il avait vu naitre.
« J'aimerais avoir une créature unique qui ne chante jour et nuit que pour mon bon plaisir... »
Aussitôt l'eut-il pensé qu'il ordonna qu'on lui crée un hybride qu'il serait le seul à posséder. Il paya le meilleur scientifique qu'il trouva, lui offrant une somme généreuse pour qu'il lui crée la merveille dont il rêvé. Lorsque l'enfant naquit, il fut placé sous surveillance, sa vie menacé de mort. La création de l'esclave fut mise en péril pour sa santé fragile, les deux plus belles gênes des espèces sélectionner jouant en sa défaveur. Pourtant, déjà à cet âge, notre héros eut la capacité nécessaire pour survivre. C'est ainsi que le jeune Suzume vint au monde. Dès sa plus tendre enfance, il fut placé aux côtés du vieil homme. Il ne manqua de rien, chaque jours, hommes et femmes venaient à lui pour lui offrir maintes soins. Le riche homme le plaça dans la chambre la plus haute, une vue grandiose sur la mer. Il le couva de tout son amour, venant chaque matin à sa chambre.
« Quelle temps fera-t-il aujourd'hui mon oisillon ? »
Et chaque fois, la mésange lui répondait en chantant. Devant les invités, il fut exposé. Rare étaient ceux qui avaient eu la chance de voir l'enfant se lever pour chanter que la pluie arrivait. Bien vite, il fut un fort sujet de discussion pour le vieil homme qui ne cachait pas sa fierté pour son petit protégé. Malheureusement, Suzume rêvait d'un monde plus ouvert, dans lequel il pourrait voler. Il grandit, devenant adolescent, captant quelques regards perverti par un désir interdit. Jamais il ne pouvait mentir, ses sentiments changeant la couleur de ses yeux contre son gré. Néanmoins, jamais le vieil homme ne le maltraita. Notre héros vit le malheur des autres hybrides, la jalousie sur leur visage à son égard. Il possédait tant, et pourtant, rien de cela n'était suffisant... Puis... Il était une fois... L'homme mourut.
Suzume se retrouva alors à la rue, dépourvu de toute cette fortune. Pourtant... l'adolescent se fichait de cet argent, il se jeta au lit de son bienfaiteur, pleurant son malheur, la perte de cet être cher. Cette main bienveillante s'était posée sur son corps, sur son cœur. L'amour qu'il lui portait était une chose chaste, comme dans bien des contes de fée... Mais l'histoire ne s'acheva pas par la comptine traditionnel. L'oiseau fut racheté par un homme plus jeune, plus beau, mais tout aussi riche que son prédécesseur. Il était fut un temps, l'allié de ce riche homme, le suivant comme son ombre, portant un cruel intérêt envers l'hybride. Notre héros ne savait pas encore quel chemin il empruntait mais bien vite, il comprit que rien n'était terminé.
Il était une fois... Dans une chambre isolé... Une créature séquestrée. Le pied attachée, elle regardait par cette petite fenêtre du grenier. Chaque jour, elle pleurait, ses ailes arrachées par le monstre qui le possédait. Sans crier gare, cette bête lui avait arraché sa liberté, lui brisant les ailes, les arrachant à son dos pour qu'il ne puisse plus jamais voler. Dans le conte qui se raconte, nul ne viendra plaindre l'hybride. Il fut exposé contre son gré, violenté à en crever. Bientôt, la haine le consuma et seul l'or et le rouge venaient noyer ses prunelles si belle dans le passé. Chaque jour, il devint plus rebelle, se battant comme jamais il ne l'eut fait auparavant... Mais ce n'était jamais assez. Puis, vint cette soirée durant laquelle une autre créature apparut. Penchée à cette petite fenêtre, elle s'adressa à l'oiseau.
« Il est temps de retrouver ta liberté, mais pourrais-tu le supporter ? »
Suzume n'eut le temps de répondre à cet étrange inconnu que ce dernier avait déjà quitté les lieux. Il passa sa main à travers la mince fenêtre, appelant l'annonciateur de malheur à revenir à lui. Il n'en fit rien. Pourtant, chaque jour, il revint à sa fenêtre, murmurant chaque fois cette phrase à laquelle l'esclave n'avait aucune réponse. Ce fut durant une dernière nuit où il vit cet acolyte et à sa phrase, il répondit.
« Je suis prêt à me salir les mains... »
À ces mots, la créature arbora un large sourire puis disparut dans la nuit. Suzume abandonné, alla se coucher... Mais au milieu des ténèbres, une fumée vint le réveiller. Malgré l'obscurité de la nuit, un brasier s'élevait dans le ciel, brulant chaque parcelle de l'ignoble demeure. L'oiseau se jeta à sa fenêtre, regardant les flammes s'élevait. Jamais il ne vit pareil spectacle, jamais il ne trouva une chose si belle. Puis, un bruit sourd résonna. Il se retourna, découvrant celui qui était venu l'aider. Il couru vers cette main tendu, la saisit et prit la fuite. Mais dans cette cavale naissante, il prit sa vengeance. Le pauvre humain enfermé, eut sa porte bloquée et Suzume l'abandonna en lui rappelant que l'enfer serait son seul repère.
Il était une fois... Dans une ville endormi... Un incendie qui tua humains et hybrides... Mais durant cette nuit... Deux hybrides prirent la fuite. Ainsi, le conte est fini. | Hey, moi c'est Kiki l'otarie trisomique, je suis vivant et j'ai 18 ans dirons nous /PAF. C'est mon 2éme compte ici(Roman), et j'ai connu le forum grâce à un phoque autiste. Sur le forum, je pourrais être là 5/7 jours environ. Pour moi le forum est mon terrier de renard puant que j'aime. Je fais environ 600/700 mots en RP. Au fait ! Le code du règlement c'est Mangé, mais ne me traite pas de biatch, et je finirai en disant simplement me revoilà parmi les fous ! \O0O/ |
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